Infos pour IMG de Paris - Ile de France
Revue Jeune-MG #20
En cette fin de mois de Mars, les abonnés à la revue Jeune-MG recoivent le numero du printemps 2018 dont le thème est : "Les Jeunes Médecins Généralistes et la réforme du systeme de santé"
PS : il y a aussi deux mini dossiers sur l'extension d'obligation vaccinale et l'endométriose
Très fière de partager avec vous mon article pour #sensibiliser les jeunes #médecins généralistes à l'#Endométriose dans leur revue médicale de mars.
— Edwine H (@edwineh56) 19 mars 2018
Pour que cette #maladie soit reconnue suffisamment tôt !
https://t.co/xIzkWxeWqn@EndoFrance_ONG @ENDOmindFrance @SNJMG pic.twitter.com/4l0VSAbc3S
RAPPEL : La revue "Jeune-MG" est envoyée gratuitement à tous les inscrits sur le site internet du SNJMG qui ont manifesté leur volonté de s'y abonner. Pour le recevoir chez vous sans frais, il suffit donc de s'incrire à notre site en signalant que vous souhaitez recevoir la revue Jeune-MG...
Assises Nationales des Jeunes Médecins Généralistes #5
Accueil des participants dans les locaux de #prescrire pour les assises des jeunes MG pic.twitter.com/t7rWlNH3Vm
— Syndicat Jeunes MG (@SNJMG) 17 mars 2018
Ce jour, ont lieu les rencontres nationales à Paris dans le cadre de la 5e édition des Assises Nationales des Jeunes Médecins Généralistes.
A la différence des précédentes éditions, il n’y aura pas de plénieres ni de tables rondes : que des ateliers de formation pratique dont certaines spécifiquement dédiées aux internes !
Thème de cette 5e édition : Intimité des corps et Respect des personnes en Médecine Générale.
Pour plus d'infos : Site Internet des Assises Nationales des Jeunes Médecins Généralistes
Merci aux intervenants/partenaires #RevuePrescrire @Psycom_actu @pourunemeuf @AFDASTCA @_CancerRose #UPMC @madeformed @AgenceDPC @santearmees et aux participants de la journée de samedi et à bientôt pour de nouveaux rendez vous ! pic.twitter.com/KnCTCSXsrk
— Syndicat Jeunes MG (@SNJMG) 19 mars 2018
C'était un plaisir. Merci de votre accueil et on espère à une prochaine fois!
— Pour une Médecine Engagée Unie et Féministe (@pourunemeuf) 19 mars 2018
Enfin des #medecins généralistes qui s'intéressent à la #PSYCHIATRIE
— ARGOS 2001 NORD (@Argos2001Nord) 19 mars 2018
En plus ils sont jeunes! De quoi voir l'avenir des #patients un peu meilleur ! pic.twitter.com/jA1JHDXfOR
Merci au @SNJMG qui nous a accueillies samedi ! Très bons échanges https://t.co/ajDHmWPCox
— Elsa Dechézeaux (@Elsa_Dechezeaux) 19 mars 2018
https://t.co/5sKZJ3PbFe
— CancerRose (@_CancerRose) 20 mars 2018
Tout au bas de l'article, notre dernière mission enseignement, aux Assises du @SNJMG , le 17 mars à Paris, animé par Dr Jean Doubovetzky.
Déclaration fiscale des gains divers
Voici quelques jours, un débat a été lancé sur Twitter sur ce qu'il fallait mettre en "Gains divers" dans la déclaration d'impots du médecin généraliste.
#DocsTocToc #ComptaTocToc
— Yem (@euphorite) 12 mars 2018
Au final dans la case "gains divers" de votre 2035 vous mettez quoi?
je ne trouve aucune info claire sur le sujet. Le site du @SNJMG indique que la la rosp devrait y figurer.
Quid des honoraires MSU, indemnités syndic. indemnités formateur/formation?
Devant les avis divergents exprimés, le SNJMG a ré interrogé son AGA partenaire, ABC PL (mais aussi, dans une volonté d'impartialité, d'autres AGA).
Il en ressort une confirmation (même si ça peut être étonnant ou injuste) de l'information que nous donnons sur notre site : la ROSP doit être déclarée en "Gains divers".
Pour être plus précis, voici la liste des recettes à déclarer en "Gains divers" selon les différentes AGA interrogées :
- expertises
- redevances percues de collaborateur/collaboratrice
- indemnités journalières "Loi Madelin"
- indemnités "perte d'exploitation"
- indemnités et allocation CARMF
- allocations et indemnité maternité/paternité/adoption CPAM
- "bonus" véhicule si celui ci est inscrit à l'actif professionnel
- rémunération des médecins maitres de stages universitaires (MSU)
- indemnisations formation continue (FIFPL et DPC)
- indemnisations syndicales et indemnisation de participation aux Commissions paritaires locales ou nationale
- ROSP, forfait structure et différents forfaits versés par CPAM au titre de la convention médicale
La logique serait :
— Syndicat Jeunes MG (@SNJMG) 15 mars 2018
Honoraires = recettes provenant des patients
Gains divers = recettes provenant de tiers
Avenant conventionnel #5 compensant l'augmentation de CSG
Ce 15 mars 2018, l’Uncam (l’Union nationale des caisses d’assurance maladie), MG France, la Fédération des médecins de France (FMF), Le Bloc et le Syndicat des médecins libéraux (SML) ont signé l’avenant 5 (à la convention médicale du 25 août 2016) visant à compenser au plus juste la hausse de la cotisation sociale généralisée (CSG) instaurée par la loi de financement de la Sécurité sociale de 2018 pour tous les médecins de secteur 1, exerçant dans le respect des tarifs opposables (Précision du SNJMG : cet avenant a été publié au Journal Officiel le 15 juin 2018).
Cet avenant prévoit un mecanisme en 2 temps :
- une solution transitoire est mise en place pour pouvoir être déployée dès cette année 2018 : "Elle prend la forme à la fois d’une augmentation de la prise en charge des cotisations famille et de la mise en place d’une nouvelle prise en charge sur les cotisations de la retraite de base de ces médecins, calculée selon les tranches de revenu actuellement utilisées".
- une solution pérenne sera mise en place à partir de 2019 : "Elle prévoit la prise en charge par l’Assurance Maladie d’une partie des cotisations de la retraite de base calculée pour chaque médecin, en fonction de 3 tranches de revenus et le retour à la prise en charge actuelle des cotisations famille. L’adoption de cette solution, qui permet d’atteindre assurer une quasi-neutralité pour les médecins libéraux concernés, demande cependant des modifications du système d’information de la caisse de retraite des médecins (CARMF) qui doivent intervenir d’ici la fin de cette année".
Pour en savoir plus : Communiqué de l'Assurance Maladie
Epidémie de rougeole en France
Une recrudescence de cas de rougeole touche actuellement plusieurs pays européens dont la France.
Entre le 6 novembre 2017, date du début de l'épidémie en Nouvelle-Aquitaine, et le 12 mars 2018, 913 cas ont été déclarés dans 59 départements. Parmi lesquels 201 hospitalisations et un décès ont été observés.
Information du Ministère de la Santé aux professionnels de santé :
"Au 12 mars 2018, 913 cas de rougeole ont été déclarés depuis novembre 2017, confirmant le début d’une épidémie. L’augmentation rapide du nombre de cas observée depuis les trois dernières semaines (environ 300 cas) fait craindre une épidémie d’ampleur importante.
Vérification du statut vaccinal de tous les patients nés depuis 1980
La proportion de cas de rougeole chez les personnes non ou insuffisamment vaccinées nées après 1980 reste très importante (87%) et reflète l’insuffisance de la couverture vaccinale contre la rougeole en France. Dans ce contexte, la Direction générale de la Santé rappelle l’importance de la vérification systématique du statut vaccinal vis-à-vis de la rougeole de toute personne née après 1980 et particulièrement les enfants de 1 à 4 ans, les adolescents, les jeunes parents et les femmes en âge de procréer. Deux doses sont en effet nécessaires pour assurer une protection efficace.
Signalement des cas
Tout cas de rougeole doit être signalé immédiatement sans attendre les résultats biologiques par tout moyen approprié (téléphone, télécopie…) à votre ARS, afin de permettre la mise en place sans délai des mesures de santé publique urgentes. En particulier, il est important de communiquer à votre ARS l’identité et les coordonnées du cas et de lui retourner rapidement la fiche de déclaration obligatoire.
Prise en charge d’un cas suspect
Devant tout patient suspecté de rougeole (présentant une éruption cutanée fébrile caractéristique) la mise en œuvre des mesures barrières suivantes est nécessaire :
- assurer, dans la mesure du possible, la prise en charge du patient à domicile ;
- privilégier les prélèvements biologiques à domicile s’ils étaient nécessaires ;
- isoler le patient, lui faire laver les mains, porter un masque chirurgical ;
- limiter les intervenants auprès du patient suspect au strict minimum nécessaire ;
- assurer la protection individuelle du professionnel de santé par des mesures de protection de type « air » ;
- bien aérer les zones de présence du patient car la transmission aérienne du virus reste possible jusqu’à 2 heures dans un espace clos même après son départ ;
- rappeler à l’entourage les règles d’hygiène (solution hydro-alcoolique) ;
- recommander l’éviction de la collectivité jusqu’à 5 jours après le début de l’éruption.
Prise en charge de cas contacts
Comme indiqué dans la circulaire DGS/RI1/2009/334 du 4 novembre 2009 relative à la transmission obligatoire de données individuelles à l’autorité sanitaire en cas de rougeole et la mise en œuvre de mesures préventives autour d’un cas ou de cas groupés, il est demandé au médecin chargé du malade de :
- identifier la source de contamination ;
- rechercher d’autre cas dans l’entourage familial du malade par interrogatoire ;
- identifier les sujets contacts dans l’entourage familial du malade par l’interrogatoire ;
- vérifier le statut vaccinal et vacciner si nécessaire les sujets contacts familiaux.
La vaccination réalisée dans les 72 heures qui suivent le contact avec le cas peut éviter la survenue de la maladie. Il est donc indispensable de mettre en œuvre les actions aussi rapidement que possible.
Les personnes à risque de forme grave, c’est à dire les femmes enceintes, nourrissons de moins de 1 an et les sujets immunodéprimés doivent bénéficier d’une prophylaxie par immunoglobulines polyvalentes par voie intra veineuse dans les six jours suivant le contact après l’avis d’un médecin expert hospitalier (infectiologue, gynécologue obstétricien, pédiatre…).
La recherche des sujets contacts et des cas dans les autres collectivités est assurée par l’ARS."
Documentation du ministère et des agences sanitaires :
Vaccination-info-service (page dédiée à la rougeole) :
La rougeole : comprendre pour agir
Épidémie de rougeole en France (Actualisation des données de surveillance)
Autres documentations :
Traitement de la rougeole de l'enfant (OMS, document de 1998 mis à jour en 2004)
Aide mémoire Rougeole (OMS, Janvier 2018)
Fiche Morbillivirus (CHU Rouen)
Fil d'info du SNJMG :
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Fresque sexiste de l'hôpital de Purpan : la directrice du CHU demande son retrait
Hier, le Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG) a publié un communiqué de presse à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes où était évoqué le cas d’une fresque sexiste (seules les femmes sont nues sur cette fresque, tous les hommes sont habillés) imposée au regard de tous à l’internat de l’Hôpital Purpan du CHU de Toulouse.
Devant l'absence de réaction officielle des différentes institutions concernées, le SNJMG soutenait le recours au défenseur des droits par le collectif « jeudi 11 », à l'origine de la mobilisation d'externes et d'internes.
La direction du CHU de Toulouse a précisé dans un article de la Dépêche du midi (publié ce jour) que "l’égalité homme/femme sera la priorité (du) prochain projet d’établissement avec cette volonté d’en finir avec la culture sexiste qui peut encore exister au sein du monde carabin".
Le SNJMG qui regroupe internes, remplaçants et jeunes installés (ou salariés) en Médecine Générale ne peut que se réjouir de la prise de position de la direction du CHU, en totale adéquation avec les engagements du syndicat contre le sexisme en médecine. De même, le SNJMG espère que le bureau de l’internat veillera à ce qu'il n'y ait plus de fresque sexiste.
Contact presse : Sayaka Oguchi
president@snjmg.org - 07 61 99 39 22
Femmes et médecine : il reste encore tant de combats à mener !
president@snjmg.org - 07 61 99 39 22
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