Journée syndicale du 16 décembre 2017

Programme de la journée syndicale du 16 décembre 2017 :

 

- Atelier de formation à l'installation en Médecine Générale de 10h 30 à 12 h 30 :

Fort des enseignements des "Hackhatons de l'installation" auquel participe Le Snjmg aux cotés de Ars Ile-De-France et de la mairie de Paris, nous organisons dans les locaux de notre partenaire, La revue Prescrire (au 68-70 Boulevard Richard Lenoir - 75011 PARIS), une formation sur les éléments fondamentaux à connaître dans la cadre d'un projet d'installation, notamment en équipe mono ou pluridisciplinaire.

Afin de préserver la qualité interactive de cette formation (et ne pas la transformer en cours magistral), nous avons décidé de limiter le nombre des participants.

Aussi, si vous êtes intéressé, merci de vous inscrire rapidement sur le formulaire en ligne !

 

- Assemblée Générale du SNJMG de 14 h à 17 h :

L’ Assemblée Générale Ordinaire du Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes aura lieu le samedi 16 décembre 2017 dans les locaux de notre partenaire, la revue Prescrire, au 68-70 Boulevard Richard Lenoir - 75011 PARIS 

La participation y est gratuite (mais nécessite une inscription en ligne) et tout le monde peut y assister (externes, internes, remplaçant-e-s, installé-e-s). Néanmoins, il est indispensable d'être à jour de sa cotisation au SNJMG pour exercer son droit de vote.

En voici l'ordre du jour :
 

Rapport moral (sur la base du rapport d'activité) + Vote
Rapport financier + Vote
Vote du report de excedent/passif de cette année sur l'année prochaine
Vote des cotisations 2018
Présentation des candidats au BN + Vote
Vote de la plateforme syndicale


Pour tout renseignement, n'hésitez pas à vous rapprocher du secrétariat du syndicat :

info@snjmg.org
07.71.05.13.81

Système de santé : la Cour des Comptes toujours victime de ses reflexes bureaucratiques

 
La Cour des Comptes a publié ce mercredi 29 novembre 2017 un rapport thématique sur l'avenir de l'assurance maladie. 
Comme à son habitude le rapport de la cour des comptes excelle par la quantité et la qualité des informations recueillies mais il pêche, une fois de plus, par une analyse et surtout des propositions dénotant une vision très administrative déconnectée des réalités du terrain.
Si le rapport déplore les nombreuses rigidités du système de santé, les sages proposent de priver la convention médicale de ses principaux moyens d'action pour les confier à l'Etat (modalités d'installation des libéraux, modalités de rémunération et régulation comptable) et suggèrent d'accorder davantage de pouvoirs aux agences régionales de santé (ARS).
Si le rapport décrit le fonctionnement en silos de notre système de soins, les sages ne proposent pas grand chose pour favoriser l'approche pluri professionnelle, la proposition de rémunération collégiale à "l'épisode de soins" relevant bien plus d'un objectif économique (puisque le rémunération se ferait à enveloppe fermée, quel que soient les actes et les professionnels impliqués, éventuellement révisable à la baisse) que d'un objectif organisationnel.
Si le rapport pointe l'effet négatif des dépassements d'honoraires sur l'accès aux soins, les sages ne proposent pas de système conventionnel unique revalorisé (mesure d'équité entre médecins aboutissant à la suppression des dépassements) mais des systèmes de plafonnement pour les dépassements comme pour les rémunérations conventionnelles (via des enveloppes limitatives, révisables à la baisse, pour les rémunérations conventionnelles, en cas de non respect des objectifs de dépenses de santé).
Si le rapport rappelle la prééminence de la rémunération à l'acte chez les médecins, les sages n'évoquent pas les forfaits "structure" ou "métier" et préfèrent développer la rémunération à la perfomance (comme actuellement la ROSP), objet de critiques en France comme en Angleterre.
Si le rapport alerte sur la dégradation de la démographie médicale, notamment en Médecine Générale, les sages en restent à un discours assez simpliste relevant plus de la gestion de produits manufacturés que de ressources humaines. Ne tirant aucun enseignement du succès des postes salariés mis en place par diverses collectivités territoriales, ils brocardent une fois de plus les mesures incitatives existantes alors que le premier plan national ne date que de 2013 et qu'il n'est constitué, comme le suivant, que de mesures à moyen terme ou de modestes mesures à effet immédiat voire de simples mesures "gadget". Ne tenant pas compte des effets limités, quand ils ne sont pas négatifs, des mesures contraignantes en vigueur à l'étranger, les sages proposent un conventionnement sélectif, à durée déterminée (soumis à recertification), alors que le nombre de médecins généralistes a diminué de 9,1% entre 2007 et 2017 (et qu'il continuera de diminuer pour quelques années encore) et qu'il n'existe plus de zone sur dotée en médecins généralistes de secteur 1 (les agglomérations de Paris et Toulouse sont sous la menace de devenir des deserts médicaux).
Si le rapport souligne l'engorgement des urgences hospitalières, les sages proposent d'augmenter le temps de travail des médecins de ville le matin et le soir et d'expérimenter une régulation médicale indépendante de l'hôpital pour mieux orienter les patients alors que les médecins généralistes en France sont parmi les médecins qui travaillent le plus en Europe (plus de 50 heures par semaine) et dans des conditions de plus en plus difficiles (propices au burn out) et que les deux principales motivations pour les patients de passer aux urgences sont de bénéficier d'un bilan complet immédiat (consultations et examens) et de pouvoir obtenir une hospitalisation.
Au final, le Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG) dénonce un empilement de mesures dirigistes pour le système de soins et brimant les médecins sans garantie d'efficacité ni en terme d'economies ni en terme d'accès aux soins :
Comment motiver avec un tel programme une profession, les médecins, qui présente avec les agriculteurs et les agents de police/gendarmerie le plus fort taux de suicide ? 
Comment résoudre avec de tels "remèdes" la crise d'attractivité de la Médecine Générale ? 
Comment à l'énoncé de ces propositions, ne pas se souvenir des décisions politiques désastreuses entre le fin des années 1980 et le début des années 1990 obtenues par de hauts fonctionnaires en vue de réguler la surabondance de médecins ? 
 
NB : La semaine dernière, le SNJMG a contribué à la consultation publique mise en place par le gouvernement en présentant ses propositions pour la nouvelle Stratégie Nationale de Santé.
 
Contact presse :
Emilie FRELAT - Présidente - 06 19 90 26 57- presidente@snjmg.org
 
 

Revue Jeune-MG #19

En cette fin de mois de Novembre, les abonnés à la revue Jeune-MG recoivent le numero de l'hiver 2017 dont le thème est : "Exercer la Médecine Générale autrement"

RAPPEL : La revue "Jeune-MG" est envoyée gratuitement à tous les inscrits sur le site internet du SNJMG qui ont manifesté leur volonté de s'y abonner. Pour le recevoir chez vous sans frais, il suffit donc de s'incrire à notre site en signalant que vous souhaitez recevoir la revue Jeune-MG...

La Stratégie Nationale de Santé vue par le syndicat des jeunes médecins généralistes

 
 
Suite à une analyse du Haut Conseil de la Santé Publique, la ministre de la Santé a fixé en septembre 2017 les axes principaux de la nouvelle Stratégie Nationale de Santé pour la période 2018-2022.
Après avoir participé à la réunion du 12 octobre 2017 entre le ministère et les principales organisations syndicales et professionnelles de santé, le Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG) a participé à la consultation publique (qui s'est achevée samedi 25 novembre 2017) en formulant les propositions suivantes :
Concernant "La prévention et la promotion de la santé, tout au long de la vie et dans tous les milieux" :
- la promotion d'une alimentation saine par une information spécifique dans les cours de SVT des colleges et lycées, la généralisation du logo NutriScore en tant que système d’information nutritionnelle officiel et son utilisation dans des consultations médicales spécifiques (nouvelles consultations CSO chez l'enfant et  consultations équivalentes à créer pour l'adulte) et le contrôle des marges des distributeurs sur les produits "bio"
- la promotion de l'activité physique via une démarche de prise en charge
- une politique ambitieuse contre l'antibio résistance (limitation du recours aux antibiotiques dans l'élevage et utilisation raisonnée des antibiotiques en médecine)
- une amélioration de la pertinence de la lutte contre les pratiques addictives : "re-tricotage" de la loi Evin après les remises en causes survenues lors du précédent quinquennat et politique anti tabac fondée sur les mesures les plus efficaces (non limitées à des actes symboliques),
- une médecine du travail dotée des moyens correspondant à ses missions et la réintégration de l’exposition à des agents chimiques dangereux, aux poussières et aux fumées dans le nouveau compte professionnel de prévention (C3P),
- une révision des politiques de dépistage (ex : cancer du sein) et de vaccination en fonction des données de la science et en accord avec les résultats des consultations citoyennes
- la prévention de la perte d'autonomie par la promotion de l'activité physique, le développement des "cafés alzheimer" ou "bistrot mémoire" et des initiatives du même ordre dans le cadre du maintien cognitif des personnes agées et la prise en charge efficace des pathologies nuisant à l'autonomie des patients.
Concernant "La lutte contre les inégalités sociales et territoriales d’accès à la santé" :
- lutte contre les obstacles financiers aux soins : suppression des franchises médicales et des freins financiers en soins primaires (prise en charge à 100% par la sécurité sociale des actes de soins primaires et suppression des pénalités financières "parcours de soins" des patients consultant en soins primaires ; ces mesures permettant, de surcroit, l'application sans difficulté du tiers payant intégral en soins primaires) et reconnaissance du facteur social en soins primaires (avec la pérennisation des "coursiers sociaux")
- amélioration de l'offre médicale : rapide résolution, digne et dans de bonnes conditions de sécurité sanitaire, du gachis des médecins "privés de these", prise en charge de la crise du secteur de la santé mentale, revalorisation concrète du statut et des conditions d'exercice des médecins généralistes, installés et remplaçants (à commencer par une amélioration pérenne de leur protection sociale) et amplification des efforts en faveur de la filière universitaire et de la recherche en Médecine Générale (les mesures annoncées par Mme Buzyn en Octobre vont dans le bon sens mais ne sont pas suffisantes, ne serait ce que pour appliquer dans de bonnes conditions la réforme du troisième cycle des études médicales),
- mise en place d'une politique globale d'aménagement du territoire (beaucoup de déserts médicaux sont des déserts socio économiques).
Concernant "La nécessité d’accroître la pertinence et la qualité des soins" :
- négociation multilatérale sur l’évolution de la tarification tenant compte des parcours, de la qualité et de la pertinence des soins et des actes avec remise en cause des rémunération actuelles qui n'ont pas fait la preuve de leur pertinence (ex : item cancer du sein dans la Rémunération sur Objectifs de Santé Publique - ROSP
- amélioration des coordination ville - hôpital et medecins - para médicaux
- amplification des procédures de transparence (au minimum) et d'indépendance (au mieux) sur l'information, la formation, la recherche et l'expertise en santé
- amélioration de la formation des professionnels (renforcement du DPC en accord avec les objectifs de transparence et d'independance)

Concernant "L'innovation" :

- arrêt du "tonneau des Danaïdes" que représente depuis 2004 le DMP
- appel d'offre public pour des outils d'enregistrement et/ou de partage d'informations de santé, souples, évolutifs, garants des libertés individuelles et évitant la concentration de données par des tiers
 
Contact presse :
Emilie FRELAT - Présidente - 06 19 90 26 57- presidente@snjmg.org
 
 
 

Charte éthique et déontologique des facultés de médecine : une avancée à saluer et à promouvoir !

 
Une charte éthique et déontologique a été adoptée le 7 novembre 2017 par les doyens des facultés de médecine et d’odontologie. Elle affirme dans son préambule : «L’indépendance de la formation médicale à l’égard des intérêts particuliers ne se négocie pas, c’est un enjeu de santé publique ».
 
Comme l'Association Nationale de Etudiants en Médecine de France (ANEMF), le Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG) voit dans cette charte une avancée majeure en faveur de l'éthique et de l'indépendance dans la formation médicale. Le SNJMG adhère notamment à l'émergence du devoir de réserve pour tous les étudiants en santé en matière d'exposition à l'influence des industriels.
 
Il n'y a pas si longtemps le SNJMG avait dénoncé des situations scandaleuses concernant des internes de Médecine Générale dans les facultés de médecine de Bordeaux et Tours.
 
Manifestement les esprits ont évolué, même s'il faut féliciter la pression efficace de la publication du premier classement sur l‘indépendance des facultés de médecine vis-à-vis des firmes pharmaceutiques, réalisé par le Formindep en Janvier 2017.
 
Certes, ce texte n'est pas parfait (Exemple : la charte ne se prononce pas sur la présence des firmes au sein des campus par le biais de stands ou d’événements organisés) et ne peut pas impliquer totalement les CHU (NB : ce mois ci, la dernière reunion de la Fédération Hospitalière de France - à laquelle participent les CHU - s'est faite en partenariat avec l'industrie pharmaceutique).
 
Toutefois, le SNJMG, seul syndicat médical junior à n'avoir jamais eu de lien direct ou indirect avec l'industrie pharmaceutique, se mobilisera pour que la charte soit adoptée et surtout respectée dans son intégralité par chaque faculté de médecine ; à titre symbolique, le SNJMG suivra le devenir de l'amphithèatre Boiron à Lyon...
 
De même, le SNJMG soutient l'élargissement de cette démarche à toutes les autres formations de professionnels de santé : pharmaciens, sage femmes et para médicaux.
 
 
Contact presse :
Emilie FRELAT - Présidente - 06 19 90 26 57- presidente@snjmg.org
 
 
 

Décés du Dr Max-André Doppia

Lettre aux IMG (T3 et T2) de Paris - Ile de France

Cher(e) collègue interne,
Le SNJMG vous souhaite une bonne rentrée universitaire 2017-2018 !
Les choix de stages hospitaliers pour ce semestre se sont donc déroulés dans les conditions que nous savons (cf notre précédente lettre).
Ceci nous a conduit à organiser une consultation express des internes (T3 et T2) entre le lundi 9 octobre et le jeudi 12 octobre (212 participants en 72 heures) et nous avons interrogé notre avocat sur les actions possibles.
 
A l'issue de ces consultations, le SNJMG n'a pas réclamé l'annulation des choix (internes majoritairement satisfaits de leur choix personnel lors de notre consultation express) mais a demandé à l'Agence Régionale de Santé (ARS) de re-proposer aux T3 et T2 les postes laissés vacants par les T1 le mercredi 11 octobre (proposition approuvée par près de 94% des internes lors de notre consultation express).
 
De son coté, l'ARS ne s'est exprimée publiquement qu'une seule fois :
Dans le "Quotidien du médecin" publié le 23 octobre 2017, l'ARS reconnait certains problèmes pour les choix de stages des internes des autres spécialités (listes d'internes envoyées trop tardivement par le ministère et plantage du nouveau logiciel de répartition "IMOtEP") mais "concernant la procédure de choix des internes de Médecine Générale, l'ARS soutient q
u'elle s'est bien déroulée"...
 
Afin que les internes ne puissent plus être victimes de pareille situation, la réunion organisée le 21 octobre 2017 par le SNJMG dans les locaux de la revue Prescrire a élaboré une stratégie en vue des prochains choix de stages du printemps 2018.
 
Si vous voulez participer à une bonne préparation des prochains choix, nous vous enjoignons (après avoir adhéré au SNJMG, si ce n'est pas encore fait ;-)) à rejoindre notre groupe de suivi de l'internat de Médecine Générale à Paris / Ile de France en nous contactant directement sur notre site.
 
Amicalement
Le SNJMG
 

C'est la rentrée des internes de Médecine Générale !

Ce jour, marque le début du semestre d'hiver 2017 - 2018 des internes de Médecine Générale ; c'est donc une nouvelle année universitaire qui commence pour eux.

Pour les nouveaux IMG issus des #ECNi2017, c'est le bapteme du feu !

Voici donc quelques infos de base pour l'internat de Médecine Générale :

Le temps de travail des internes est limité à 48 heures par semaine (moyenne calculée sur une période de 3 mois) sur la base de 10 demi-journées de travail par semaine dont 8 demi-journées en stage, et 2 de formation.

Rémunération fixe :

La rémunération brute annuelle de base est :
Internes de 3ème année : 25 500,55 € ;
Internes de 2ème année : 18 383,46 € ;
Internes de 1ère année : 16 605,13 €.

Il faut y ajouter l’indemnité de sujétion (432,58 € mensuel) voire les indemnités compensatrices :
Majoration pour ceux qui sont non logés et non nourris : 1004,61 € ;
Majoration pour ceux qui sont non logés mais nourris : 334,32 € ;
Majoration pour ceux qui sont non nourris mais logés : 670,29 €.

Rémunération supplémentaires :

Il y a les gardes (119.02 € pour les gardes de nuit en semaine et 130,02 € pour les gardes de nuit de WE/F et les gardes supplémentaires), la prime SASPAS (125 € mensuel) et l'indemnité transport (130 € mensuel).

Absences pour événements familiaux :

Sous réserve des nécessités du service, peuvent être accordés

Mariage : 5 jours ouvrables
Naissance ou adoption : 3 jours ouvrables
Maladie très grave ou décès du conjoint père, mère ou enfants : 3 jours ouvrables
Garde d'enfant malade : 12 jours ouvrés par an, à partager entre conjoints (cf circulaire FP n°1475 du 20 juillet 1982)

Dans le cas d'un mariage ou d'un décès, il appartient aux chefs de service d'examiner si, compte tenu des déplacements à effectuer, la durée de l'absence peut être majorée de délais de route (maximum : 48 heures, aller et retour).

Les internes sont soumis à une triple tutelle :

L’ARS est compétente pour :
- vos choix de stages (formation pratique) hospitaliers et extra-hospitaliers ;
- votre classement ;
- l'attribution d'une année-recherche ;
- le droit au remords.

Le C.H.U. de rattachement est compétent pour :
- votre nomination en qualité d'interne,
- la mise en disponibilité,
- le régime disciplinaire,
- le suivi des congés.
Votre établissement d'affectation est compétent pour tous les autres actes de gestion : prise en charge financière, gardes, demandes de congés...
Toutefois, vous relevez exclusivement de votre CHU de rattachement lorsque vous êtes affecté(e) dans ce même établissement, dans un établissement hospitalier militaire, dans un établissement hospitalier privé participant au service public et ayant passé convention, dans un organisme agréé extra-hospitalier ou un laboratoire agréé de recherche.

La faculté est compétente pour :
- votre inscription universitaire, 
- votre formation théorique 
- la validation de vos stages.