Documentation :
Communiqué de presse de la commission Jeunes Médecins du CNOM (CNOM_CP-INSTALLATION-JEUNES-MEDECINS_110419.pdf) Enquête sur les déterminants à l’installation : des freins à lever pour accompagner les internes et jeunes médecins à exercer dans les territoires
Dossier de presse de la commission Jeunes Médecins du CNOM (Dossier-de-presse-installation-CNOM-CJM-1.pdf) Enquête sur les déterminants de l’installation chez les internes, les remplaçants exclusifs et les installés
Live tweet et discussions twitter :
#DirectCNOM | Lancée en janvier 2019, cette étude met en lumière les besoins, attentes et craintes des jeunes et futurs médecins. Plus de 15.300 professionnels y ont répondu (70% de médecins déjà installés, 16% d’internes et 14% de médecins remplaçants). pic.twitter.com/ccKjVgevRz
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | L’étude révèle une véritable aspiration à l’installation en libéral. 75% des internes envisagent ce mode d’exercice, vs. 19% en activité salariée pure. Dans les faits, seuls 12% des nouveaux inscrits à l’Ordre en 2018 exercent en libéral, quand 62% sont salariés. pic.twitter.com/sviLARKbYP
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Le territoire, déterminant majeur à l’installation. 62% des internes & 57% des médecins remplaçants considèrent que la qualité des services publics est un facteur essentiel dans leur décision de s’installer quelque part. La proximité familiale est aussi essentielle. pic.twitter.com/3IZNBEEfwM
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | La recherche d’un cadre de vie non-isolé est d’autant + prégnante que les jeunes médecins, lorsqu’ils sont en âge de s’installer (30 ans), ont souvent une vie de famille. 86% des internes ayant un conjoint affirment que ce dernier influence le projet d’installation. pic.twitter.com/DnatsAbHXq
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Exercice groupé, réseau de professionnels… Les jeunes médecins ont une attente particulière sur les conditions d’exercice. Par ailleurs, la recherche d’un équilibre vie privée - vie professionnelle est saillante chez les internes et remplaçants. pic.twitter.com/uOOrbstiyU
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Enseignement majeur : 59% des internes et 43% des remplaçants affirment craindre l’échec économique d’une installation. Face à cette appréhension du risque économique, les aides financières à l’installation sont perçues comme importantes mais pas déterminantes. pic.twitter.com/oLQ0GEunaR
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
Sayaka Oguchi pour le @SNJMG aux cotés de @A_Reydellet @Clara_ANEMF et @PieterPrats au point presse de @ordre_medecins : https://t.co/72OFpTDuon
— Syndicat Jeunes MG (@SNJMG) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Des pistes claires pour faciliter l’installation des jeunes médecins, sans céder à l’appel des mesures coercitives qui seraient totalement contre-productives : accompagner, faciliter le travail en groupe et en réseau, améliorer les conditions d’exercice. pic.twitter.com/i9u0mqGl0H
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Une formation précoce au management de "l’entreprise médicale", et l’idée d’un incubateur de projets d’installations mettant à leur disposition toutes les compétences nécessaires, seraient également bénéfiques.
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#EnqueteInstallation | @Thomas_ANEMF « Pour les jeunes et futurs médecins, la proximité familiale et les services publics sont les deux premiers déterminants à l’installation dans les territoires »@ANEMF @ISNARIMG @ISNItwit @ReAGJIR @SNJMG pic.twitter.com/u6tYc521zB
— Clara Bonnavion (@Clara_ANEMF) 11 avril 2019
Selon une étude publiée jeudi par l' @ordre_medecins, une majorité d'internes souhaiteraient s'installer en libéral, mais très peu le font réellement, craignant l'échec économique malgré diverses aides financières à l'installation existantes https://t.co/MzNEJp2iin via @europe1
— Jean-Jacques Fraslin (Le retour) - No #FakeMed (@Fraslin) 11 avril 2019
Le sondage n'est pas terrible. Pour commencer, à propos du "risque économique", je n'aurais pas compris la question pic.twitter.com/aVQ8qkepNf
— Dominique Dupagne (@DDupagne) 11 avril 2019
Ensuite, pour le soutien financier, l'item "partiellement" est idiot car il fausse toute l'analyse. En fait, avec "tout à fait", "plutôt" et "partiellement" on est à 74% (c'est valable pour d'autres questions). Qui peut affirmer que ça ne joue pas au moins partiellement ? 10% !
— Dominique Dupagne (@DDupagne) 11 avril 2019
Franchement, d'où ça sort cette peur de "l'échec économique" ?
— M5 (@module5) 11 avril 2019
Tu mets ta plaque n'importe où t'as un planning plein le mois suivant.
Est-ce que ça ne vient pas de ceux qui rabâchent qu'on gagne pas notre vie ?
(Je ne comprends sincèrement pas)
Ouais ça sort un peu de l'espace. Est ce qu'il y a pas une confusion avec la gestion de l'administratif???
— Remplachiant/spécialiste en generalités (@Microsebus) 11 avril 2019
Ca dépend.
— armance64 (@armance64) 11 avril 2019
Un jeune qui s'associe en groupe, mettons à 4, va partager les charges en 4. Mais si d'aventure un associé part à la retraite ou déplaque sans remplacement, c'est dur, si 2 partent, c'est plus tenable financièrement.
Et la majorité qui partent ne sont pas remplacés...
Tout s'anticipe... ou presque.
— armance64 (@armance64) 11 avril 2019
Ici on est passé de 2 à 3, au bout de qques mois, on a eu besoin d'augmenter les heures de la secrétaire, les charges globales...
Puis la 3ième a jeté l'éponge, et on s'est retrouvés à 2 avec des charges pour 3... ça a été compliqué...
HA HA HA! #PenséeMagique
— armance64 (@armance64) 11 avril 2019
Bien sûr que non.
On a construit à nos frais, on se débrouille.
Le maire, il veut des docteurs, mais s'il peut ne pas mettre de billes, il préfère.
Entrez en contact avec le Maire et mettez leur la pression en faisant état de vos difficicultés et que si rien n'est fait malheureusement il y a une chance que le cabinet aille ailleurs (citez une ville du coin ou votre Mairie n'est pas en bon terme). Ils débloqueront des fonds.
— Bastien (@Bastien_BB) 11 avril 2019
En tant que libéral j'apprécie la liberté très relative des horaires
— B Stalnikiewicz (@docteurniide) 12 avril 2019
je déteste tout le reste
Dans le libéral, j'aime pouvoir choisir mes méthodes de travail (atypiques...), mes prescriptions, mes horaires, mes vacances, mes patients, et même mes honoraires (ça c'est fini). Je détesterais être médecin salarié.
— Dominique Dupagne (@DDupagne) 12 avril 2019
J'ai travaillé longtemps libéral et salarié. Quand j'ai dû choisir, j'ai choisi le libéral.
— Grange (@docdu16) 12 avril 2019
Pourquoi ?
— Jehan_Menthion (@Jehan_Menthion) 12 avril 2019
Perso je travaille en salarié + libéral en veillant à ne pas dépasser le micro BNC (dont le plafond a été doublé récemment)...
Autant de médecins que de façons de concevoir son exercice : C'est cette liberté qu'il faut préserver !
— Syndicat Jeunes MG (@SNJMG) 12 avril 2019
Installation en libéral : cadre de vie, conditions d’exercice et travail en équipe… Ce que veulent les jeunes médecins https://t.co/hPnUgONIcZ #DocTocToc pic.twitter.com/KowiMEcMX4
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 20 mai 2019
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